Passer de la recherche à un projet de création d’entreprise n’est pas le parcours habituel du chercheur français. Pourtant, ceux qui se sont lancés dans l’aventure, ont souvent réussi au-delà de leurs espérances. Retour avec Inria sur des réussites et profils atypiques, choisies parmi leurs spin-off, qui font rayonner l’excellence scientifique à la française dans le monde entier.
« Inria a pour mission d’avoir un impact économique et sociétal s’appuyant sur ses succès scientifiques. C’est une de nos missions centrales, qui se décline à l’échelle de l’institut, de ses centres et de chaque équipe-projet », rappelle Antoine Petit, PDG d’Inria, d’où sortent environ une dizaine de start-up chaque année. Ce qui est le double de ce qui se faisait les années précédentes [entre 1984 et 2014, 120 start-up ont créé 3 000 emplois]. En un peu plus de trente ans, Inria compte désormais environ 150 start-up créées, sachant que l’institut de recherche souhaite arriver à moyen terme à la création annuelle d’environ une vingtaine de spin-off.
Une start-up française issue d’Inria, Therapixel, remporte la première phase du « Digital Mammography Challenge », un concours à l’échelle mondiale qui renforce son potentiel dans la lecture d’images médicales via l’intelligence artificielle.
>> Consultez l'article en entier : Therapixel décroche le Digital Mammography Dream Challenge
Fiche Therapixel
- Editeur de logiciels pour l'imagerie médicale
- Création en juin 2013 par deux chargés de recherche d’Inria : Olivier Clatz et Pierre Fillard
- 12 salariés
- CA confidentiel
- Fonds levés depuis la création : 900 000 euros (soutenu par IT-Translation notamment)
- Deux établissements en France et présence commerciale sur plusieurs continents
- il y a également quelques semaines, Therapixel s’était déjà distinguée en arrivant cinquième du Data Science Bowl, une compétition qui avait réuni plus de 10 000 participants et qui avait pour but d’utiliser l’intelligence artificielle contre le cancer du poumon.
Ambiciti met gratuitement à la disposition de chaque citoyen une application de mesure de la pollution en ville, qui permet notamment de quantifier les expositions individuelles et collectives à la pollution au bruit.
>> Consultez l'article en entier : Ambiciti, pour mieux vivre dans la ville
Fiche Ambiciti
- La société développe une application mobile gratuite qui vise à quantifier l’exposition individuelle et collective aux pollutions sonore et atmosphérique.
- Création en décembre 2016 par des experts de l'Internet des objets et des systèmes distribués (Valérie Issarny, Pierre-Guillaume Raverdy / Inria) ; du traitement combiné des simulations et observations environnementales (Vivien Mallet / Inria) ; de la qualité de l'air (Pierre Béal / Numtech) et des conséquences sur la santé des pollutions environnementales (Rajiv Bhatia ; médecin, ancien responsable de la division santé/environnement de San Francisco).
- 2 salariés (et 8 autres chez les partenaires)
- CA non significatif
- Levée de fonds de 300 000 à 400 000 euros en cours (prévu d’ici à l’automne 2017)
- Le 5 décembre 2016, Ambiciti a reçu le Décibel d'Argent dans la catégorie Recherche, pour le Concours du Décibel d’Or 2016 (CNB).
Créée par quatre chercheurs d’Inria Rennes, la start-up rennaise Lamark, qui propose un service de protection d’images en ligne, vient de lever 500 000 euros auprès d’EDD, un spécialiste de la veille-médias.
>> Consultez l'article en entier : Lamark et son tatouage numérique lèvent 500 000 euros
Fiche Lamark
- Plateforme web qui simplifie l’accès aux métadonnées des images numériques (auteur, copyright, légende, licence d’utilisation…) pour en garantir les droits.
- Fondée en mai 2015 par des ingénieurs de l’Inria spécialisés dans le process image et vidéo (Mathieu Desoubeaux), l’indexation multimédia (Jonathan Delhumeau), en architecture de système (Vivien Chappelier) et en télécom (Teddy Furon).
- 6 salariés.
- Chiffre d’affaires 2016 : 21 000 euros (non significatif).
- L’entreprise vient de lever 500 000 euros. Elle a débuté avec un capital de 30 000 euros accompagné de différentes aides (fonds d’investissement Phar, Bpifrance).
- Ses clients : agences photographiques MaxPPP, Hans Lucas, La Parisienne de Photographie, Roger Viollet, La Collection… ; des photographes professionnels indépendants et des photojournalistes.
Basée sur le Deep Learning, forme d’intelligence artificielle qui permet d’extraire de manière automatique des informations à partir d’une image, la suite logicielle « standard » de Deepomatic sera commercialisée en septembre.
>> Consultez l'article en entier : 2017, l’année du décollage pour Deepomatic
Fiche Deepomatic
- Logiciel de reconnaissance d’images (photos et vidéo)
- Création en juillet 2014 par Augustin Marty (CEO), ingénieur des Ponts-et-Chaussées, spécialisé dans la finance d’entreprise ; Vincent Delaitre (CTO), doctorant en vision artificielle à Inria ; et Aloïs Brunel (CPO), doctorant en informatique fondamentale
- 18 salariés
- Chiffre d’affaires 2016 : 300 000 euros (1 million prévu en 2017)
- Fonds levés depuis la création: 2,2 millions d’euros (prévoit de lever entre 5 et 15 millions d’euros début 2018)
Et une reconnaissance de plus pour la start-up lilloise, opérateur de services pour la supply chain lors des Euratech’Awards organisés par EuraTechnologies. Son créateur, Manuel Davy est sur le point de lever 12 millions d’euros.
Fiche VEKIA
- Date de création : mars 2008
- Créateur : Manuel Davy, ancien chercheur au CNRS et à Inria
- Chiffre d’affaires : Non communiqué
- Effectif : 60 personnes (doublement d’ici à 2018)
- Fonds levés depuis la création : 3,2 millions d’euros (auxquels s’ajoutent les 10 millions d’euros en cours de finalisation)
- Siège à Lille sur Euratechnologies et un bureau à Londres
La start-up spécialisée dans l’élimination des bugs des logiciels et des applications Android a gardé des liens étroits avec l’Institut qui a vu cette idée naître. Inria a permis à un chercheur et deux ingénieurs de devenir des entrepreneurs. Explications par deux des cofondateurs.
>> Consultez l'article en entier : Makitoo traque et résout les bugs
Fiche Makitoo
- Date de création : décembre 2015
- Créateurs : Nicolas Petitprez (ex-Inria), Yves Matton (avec le start-up studio Technofounders) et Emmanuel Dissoubray (CEO). Martin Monperrus, quant à lui, est toujours membre de l’équipe-projet Spirals.
- Chiffre d’affaires : Non communiqué
- Effectif : 5 salariés.
- Fonds levés depuis la création : 450 000 euros, auprès de Val’Angels et des investisseurs de la communauté Fundme.
- L’équipe est basée à Lille et à Paris.
Aujourd’hui, la solution Makitoo est quasiment la seule au monde à permettre cette autocorrection instantanée d’un problème technique. Cette innovation lui a permis de remporter, en 2015 et en 2016, le concours i-LAB d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes.
>> Consultez l'article en entier : Golaem simule les foules
Fiche Golaem
- Editeur d’un logiciel de création de foules virtuelles (effets spéciaux) pour le cinéma, la publicité et le jeu vidéo
- Créée en janvier 2009, Golaem est le fruit de plusieurs années de recherches de Stéphane Donikian à l’Inria et de plusieurs ingénieurs de l’Irisa, sur la modélisation du comportement humain.
- Effectif : 6 personnes
- Fonds levés depuis sa création : 1,6 million d’euros en 2009, 2012 et 2014 (notamment auprès d’IT-Translation)
- Chiffre d'affaires prévisionnel 2017 : 400 000 euros (80 % hors de France)
La solution de détection de présence de véhicule « Hikob Instant Irve » a été choisie par Spie City Networks pour optimiser l’exploitation des bornes de recharge pour véhicules électriques du réseau « eborn ».
>> Consultez l'article en entier : Hikob, à fond sur la mobilité intelligente
Fiche HIKOB
- L’offre d’Hikob se décline en deux approches : la vente de systèmes basés sur un catalogue produit standardisé pour les applications autour du trafic et du stationnement et des services basés sur une plateforme matérielle de nœuds d’acquisition et des briques logicielles embarquées.
- Création : Juillet 2011
- Basée à Villeurbanne (69) et Grenoble (38)
- Effectif : 16 salariés
La start-up spécialisée dans la conception d’appareillages orthopédiques et dentaires en 3D va lancer un service web pour les prothésistes dentaires.
>> Consultez l'article en entier : Anatoscope aide à la conception de prothèses 3D
Fiche Anatoscope
- Anatoscope développe un logiciel de conception 3D de prothèses orthopédiques et dentaires.
- Création le 30 août 2015 par François Faure, professeur en informatique, Frederick Vanmeer, docteur en robotique, Olivier Palombi, neurochirurgien et professeur d'anatomie et Benjamin Gilles, chercheur au CNRS.
- 13 salariés
- CA : 230 k€ en 2016, prévisions 2017: 750 k€
- Pas de levée de fonds effectuée ni prévue à court terme
- Anatoscope recrute six personnes pour la rentrée 2017-2018 à Montpellier ou Grenoble.
- En 2016, Anatoscope a été lauréate des concours ILAB 2015 (Émergence) et 2016 (Création-Développement), du prix de l’innovation 2016 de la Société Française de Radiologie et du prix Futurapolis-Le Point 2016.
Lixoft, la start-up spécialisée dans la simulation médicale travaille en collaboration avec l’Inria pour développer une médecine personnalisée en milieu hospitalier.
>> Consultez l'article en entier : Lixoft veut optimiser les taux de réussite des essais cliniques
Fiche Lixoft
- Lixoft développe un logiciel de modélisation et de simulation des effets des médicaments en phase d’essais cliniques, vendu sous la forme de licence annuelle.
- Création par Jérôme Kalifa en 2011.
- 12 salariés.
- CA prévisionnel 2017: 1,2 millions d’euros.
- Pas de levée de fonds effectuée ni prévue à court terme.
- En 2011, dès sa création, Lixoft a remporté le prix Oséo pour la création d’entreprise de technologies innovantes, dans la catégorie « création / développement ».
C’est à un vaste domaine auquel s’attaque Case Law Analytics ! La start-up nantaise, spin-off d’Inria, propose une solution de gestion de l'aléa judiciaire, en présentant l’éventail des décisions possibles, avec les probabilités et les montants associés.
>> Consultez l'article en entier : Case Law Analytics quantifie le risque juridique et judiciaire
Fiche Case Law Analytics
- Création : 2017 à Nantes (Loire-Atlantique)
- La start-up met à disposition une interface sécurisée qui permet aux différents métiers du droit (avocats, juristes, directions juridiques, magistrats, etc.) de quantifier leur aléa juridique.
- La société a été cofondée par Jacques Lévy Véhel (mathématicien), diplômé de l'Ecole Polytechnique et de l'Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications. Il est docteur en mathématiques et directeur de recherches à l’Inria ; Jérôme Dupré (avocat), docteur en droit et magistrat français, qui exerce comme avocat au barreau de Nantes et Marie-Laure Pondevy, directrice générale.
- Dans sa phase de lancement, Case Law Analytics et ses fondateurs ont déjà reçu plusieurs prix (obtention de la bourse FrenchTech, prix du réseau Entreprendre Loire-Atlantique).
Start-up lancée à Rennes dans le prolongement de recherches menées à Inria et à l'université Paris Est Marne-la-Vallée, Open Agora fournit des outils pour permettre aux entreprises et aux collectivités d'organiser des consultations arbitrées par des votes.
>> Consultez l'article en entier : Open Agora favorise l’intelligence collective
Fiche Open Agora
- Propose des outils autour des systèmes de votes pour favoriser la transformation de la discussion en action, à destination des entreprises, collectivités locales…
- La start-up a été cofondée à Rennes (Ille-et-Vilaine), en janvier 2017, par Christophe Morvan (président), enseignant-chercheur en informatique ; Benoît Masson (directeur technique), précédemment post-doc Inria et Olivier Bache (directeur produit), qui a travaillé plus de 15 ans en SSII.
- Effectif: 4 salariés (septembre 2017). La société compte également 3 jeunes étudiants de Masters rennais. En termes de recrutement, Open Agora se renforcera d’un profil marketing/commerce cet automne. Par la suite, elle sera amenée à recruter d’autres talents en marketing, informatique et technologies web.
- Chiffre d’affaires 2017 (prévisionnel) : 21 000 euros
- Capital: 45 000 euros
La solution de cette start-up rennaise, spécialisée dans le marketing ultra-personnalisé prédictif, permet de cerner le profil de groupes d’internautes afin de leur proposer des produits ou services ciblés.
>> Consultez l'article en entier : Tout savoir sur ses clients avec Mediego
Fiche Mediego
- Solution de personnalisation de contenus et de marketing prédictif, reposant sur une technologie de prédiction conçue aux seins des laboratoires de recherche d’Inria
- Création: avril 2015 à Rennes par Anne-Marie Kermarrec
- Fonds levés : 300 000 euros en novembre 2016 (IT-Translation)
- Effectif: 7 personnes
- Chiffre d’affaires 2017 : non significatif
- Parcours de la fondatrice : après une thèse en informatique obtenue en 1996 à l'Université de Rennes, Anne-Marie Kermarrec a effectué un post-doc à Amsterdam, auprès du Professeur Tanenbaum, un expert reconnu au niveau mondial dans le domaine des systèmes d'exploitation. Puis, elle est revenue à l'Université de Rennes, comme maître de conférences jusqu'en 2000. Elle a passé ensuite quatre ans chez Microsoft Research au Royaume-Uni, où elle a commencé à se spécialiser dans les systèmes peer-to-peer, avant de rejoindre Inria comme directrice de recherche. En avril 2015, elle créait la start-up Mediego.
La start-up IQSpot veut devenir « l'outil de référence » qui conjugue diminution des factures énergétiques des bâtiments et bien-être accru des occupants. Aujourd’hui, elle passe à plus grande échelle et s’apprête à décoller à l’international en 2018.
>> Consultez l'article en entier : iQSpot optimise les énergies de parcs immobiliers
Fiche IQSpot
- Solution de suivi et d’analyse des consommations énergétiques de bâtiments tertiaires, tout en impliquant les usagers
- Création: janvier 2015 par Julien Bruneau (CEO) et Quentin Enard (CTO)
- Effectif: 7 personnes
- Octobre 2015: 1ère levée de fonds de 300 000 euros auprès d’IT-Translation, une seconde levée est envisagée début 2018.
- Chiffre d’affaires 2017 (prévisionnel) : 500 000 euros.
On ne possède plus de voiture, on la partage ! C’est sur ce créneau des technologies d’auto-partage que la société niçoise Vulog, née dans les laboratoires Inria de Sophia-Antipolis, souhaite aujourd’hui prendre son envol aux Etats-Unis, puis en Asie.
>> Consultez l'article en entier : Vulog, futur « grand champion » de la mobilité partagée
Fiche Vulog
- Solutions de mise en place de services d’auto-partage, pour les besoins de mobilité des personnes ou des entreprises.
- Création : 2006
- Fondateurs : start-up issue des laboratoires Inria de Sophia-Antipolis, créée par Georges Gallais (directeur de l’innovation) et David Emsellem (directeur technique). Depuis avril 2016, l’entreprise est pilotée par Grégory Ducongé, directeur général.
- Chiffre d’affaires 2016 : non précisé. Mais il a presque doublé entre 2015 et 2016 (réalisé pour moins de 10 % en France et plus de 90 % à l’international, notamment au Canada)
- Effectif : 60 collaborateurs et consultants (15 embauches en cours)
- Sa technologie est utilisée par de nombreux acteurs à Vancouver (Evo), Montréal (Communauto), Bruxelles, Sao Paolo (Urbano Carsharing), Varsovie (Panek Carshare), ou Copenhague (Green Mobility)…
- 4 500 véhicules sont aujourd’hui équipés du boîtier Vulog.
La start-up Pollen Robotics fait le pari de démocratiser l’usage des robots en développant des outils accessibles pour la réalisation de tâches simples.
>> Consultez l'article en entier : Les robots de Pollen Robotics dans les mains de tous
Fiche Pollen Robotics
- Création : 2016
- La start-up fait le pari de démocratiser l’usage des robots en développant des outils accessibles pour la réalisation de tâches simples.
- Fondateurs : Matthieu Lapeyre, Nicolas Rabault, Jonathan Grizou et Pierre Rouanet. Les quatre cofondateurs travaillent avec Simon Baudry et Cyril Sagonéro, membres de l’Inria.
- Pollen Robotics prévoit de lever entre 300 000 et 600 000 euros courant du premier semestre 2018.
La start-up Pollen Robotics fait le pari de démocratiser l’usage des robots en développant des outils accessibles pour la réalisation de tâches simples.
>> Consultez l'article en entier : Les robots de Pollen Robotics dans les mains de tous
Fiche Lybero.net
- Editeur de logiciels clés en main pour protéger les données.
- Création : mars 2016
- Fondateurs : Arnaud Laprévote et Bertrand Wallrich, anciens d’Inria Nancy-Grand Est, où la start-up, qui compte 3 personnes, est encore hébergée.
- Fonds levés : 37 000 euros à la création, puis 108 000 euros mi-2017 (notamment avec IT-Translation) accompagné d’un prêt d’honneur de 40 000 euros de Réseau Entreprendre.
Rendre les drones intelligents pour qu’ils s’adaptent aux besoins des industriels et se déploient de manière plus sécurisées, c’est ce que s’attache à faire depuis deux ans la start-up Alérion.
>> Consultez l'article en entier : Les drones, un secteur en devenir pour Alérion
Fiche Alérion
- Création : en juin 2015 dans l’Espace Transfert de l’Inria à Villers-Les-Nancy
- Activité : Alérion développe des briques technologiques pour rendre les drones intelligents et adaptés aux besoins d’un industriel.
- CA 2017 prévisionnel : 100 000 euros
- Effectifs : 6 personnes (4 associés co-fondateurs : Anne-Sophie Didelot, Laurent Ciarletta, Pascal Vaxivière et Yannick Presse ; et 2 ingénieurs R&D : Grégoire Guerout et Loïc Wassermann)
Antescofo propose l’application Metronaut, qui dote les smartphones et tablettes de l’intelligence d’un musicien vivant ! Même seul chez lui, chaque utilisateur peut jouer son morceau préféré en étant accompagné par un orchestre virtuel.
>> Consultez l'article en entier : Quand l’ordinateur joue comme un musicien
Fiche Antescofo
- Créée en 2016 à Paris.
- Fondateurs : Arshia Cont, José Echeveste, Laurent Tran Van Lieu et Philippe Cuvillier.
- Antescofo permet à chacun de jouer avec des ensembles de musique, ou de chanter avec son groupe préféré, à sa propre vitesse, et de proposer des nouvelles reprises.
- Prix i-LAB 2016.
- Levées de fonds : 300 000 euros mi-2017, et 2ème levée prévue début 2018.
La start-up Matrix Lead se met au service des entreprises et de leurs collaborateurs pour améliorer leur expérience du tableur de Microsoft Excel grâce à ses plug-ins.
>> Consultez l'article en entier : Matrix Lead optimise le tableur Excel
Fiche Matrix Lead
- Création : octobre 2016 à Paris par Tie Cheng (CEO) et Xavier Rival (scientific adviser), directeur de recherche à l’Inria.
- Objectif : Matrix Lead fournit aux utilisateurs et entreprises un ensemble de solutions technologiques pour les tableurs.
- Effectif : 4 personnes (Tie Cheng et Xavier Rival, ainsi que deux développeurs à temps partiel, Yi Liang et Jie Chen)
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