- Type d'évènement : Dîner-débat
- Date : 30/09/2019
- Info supplémentaire :
Les interconnexions et les échanges entre les entreprises, et au sein des entreprises elles-mêmes, n’ont jamais été aussi nombreuses. Cette richesse ouvre de formidables opportunités pour proposer de nouveaux services et innovations, plus rapidement et plus efficacement aux clients. Mais elle s’accompagne d’une complexité grandissante. Et comme tout système complexe, celui-ci peut être fragile : notre dépendance au numérique est avérée.
Dans ce contexte, que signifie « être résilient » pour une entreprise et son système d’information ? Les crises ont-elles changé de nature dans un univers où le cloud devient omniprésent ? Les DSI réunis lors de ce dîner-débat de la Rédaction Alliancy ont eu l’occasion de partager leur définition de la résilience, de faire un focus sur les contraintes techniques qui s’imposent à eux, mais aussi et surtout de remettre l’humain au cœur du sujet et de l’organisation.
Photos : Guillaume Ombreux
« La nature du système d’information a changé pour accompagner l’ouverture des entreprises et les besoins de souplesse des organisations. Les DSI sont donc maintenant aux premières loges pour aider l’entreprise à anticiper les risques de demain » a rappelé Sylvain Fievet, directeur de publication d’Alliancy. Il a notamment poussé le débat sur la perception qu’avaient les directions générales et les comex des organisations sur la « dépendance au numérique » de leurs activités aujourd’hui : « Concrètement, comment parle-t-on des potentielles crises numériques dans une organisation en 2019 ?
Dorian Marcellin, journaliste pour Alliancy, a également interrogé : « Quand on cherche à prévenir une crise importante, quand on évalue les risques… la disponibilité d’un service est-elle le seul point à regarder ? C’est une promesse des opérateurs cloud, mais n’est-ce pas limitatif ? »
Laurent ROUSSET, Directeur des Systèmes d'Information - The Adecco Group en France
« Historiquement, The Adecco Group était uniquement orienté client, c’est-à-dire en service BtoB des donneurs d’ordre dans notre activité RH. La raréfaction globale des compétences a changé depuis la donne : nous devenons « candidate-driven », avec des enjeux complexes d'accompagnement de carrière à court et long termes : Formation, Orientation, Conseil. Du même coup, nous sortons d’un modèle d’entreprise purement transactionnel et réglementaire pour entrer sur des logiques de valorisation, de personnalisation, d’expérience utilisateur… un peu à la manière du retail il y a 10 ans. Cela implique évidemment une dépendance plus grande aux services numériques et un changement de posture pour gérer différemment les risques associés, car cette orientation "B2C" nous expose à plus grande échelle. Nos services digitaux sont directement comparés à ceux des meilleurs du marché quelque soit le secteur. L’exemple du cloud est intéressant car dans sa dimension IaaS par exemple, il ne résout absolument pas les problèmes de pannes applicatives qu’un DSI pouvait avoir. Seuls le PaaS ou le Saas apportent des solutions. Dans tous les cas, le cloud doit s’orchestrer, dans une vision end-to-end et dans un contexte où chaque partenaire à un impact sur la résilience globale de l’entreprise. »
Général Bruno Poirier-Coutansais, Chef du ST(SI)² de la Gendarmerie et de la Police Nationales
« La Gendarmerie comme la Police ont un besoin extrêmement fort de résilience, tant sur les sujets techniques et numériques, que pour faire face à d’éventuelles crises sociales. Une partie de cette résilience vient de l’autonomie conférée par une forte culture de la « réalisation en interne », notamment d’un point de vue informatique. Le sujet d’une crise est en fait celui de la valeur. Or, aujourd’hui la valeur des organisations réside dans leurs données. Il ne faut donc pas se tromper de combat pour bien prévenir les risques : les modèles de fonctionnement et les contrats avec des partenaires, notamment des prestataires cloud à l’ère du Cloud Act, doivent toujours garder en ligne de mire cette réalité. Une fois une crise avérée, la résilience d’une organisation se verra en revanche à sa capacité à s’adapter en permanence. Et cela ne peut se faire qu’avec de l’entrainement et encore de l’entrainement.»
Claude Sauvaigo, DSI de Covivio
« Covivio, 4ième foncière Européenne cotée, a engagé courant 2018 une importante transformation digitale. Cette transformation est l’occasion de fédérer les équipes IT européennes autour d’un projet commun. Concrètement, cela passe par la mutualisation des outils IT, le fait de faire évoluer les lignes de produits B to B vers le B to B to C afin de délivrer plus de services aux usagers, ou encore de favoriser l’innovation.
Le move to cloud d’une partie des infrastructures est une première étape pour ouvrir le champ des possibles. C’est aussi le moyen d’aller chercher des économies d’échelle et d’améliorer la sécurité tant physique que logique des infrastructures IT. »
Olivier Saillenfest, Directeur du Pôle Paris Val de Seine de la CNAM
« La CNAM a des agendas et donc des contraintes différentes du secteur privé en matière de transformation du système d’information. Cependant, il est évident que de notre côté aussi, la profession de DSI s’est « judiciarisé », le RGPD mais aussi les impacts du Cloud Act et des évolutions du Code des Marchés sont les exemples les emblématiques de cette évolution ; ainsi il faut renforcer les synergies avec les autres services, et avec tout notre écosystème, pour remplir nos missions.
Le travail préventif permet d’anticiper les conséquences des problèmes même si par définition les crises ne préviennent jamais de leur arrivée. Et avec de l’expérience, on apprend également que chacune d’entre elle est très différente. Les invariables pour la DSI restent alors l’entrainement, l’acquisition de certains automatismes et une capacité d’adaptation permanente. »
Frédéric Riga, CDO de Getlink
« Getlink, connu auparavant sous le nom de groupe Eurotunnel, est le concessionnaire et l’exploitant des infrastructures du tunnel sous la Manche. L’entreprise mène aussi des activités variées dans le monde du ferroviaire et du tunnel au service de lien binational entre la France et le Royaume-Uni. Le cloud est une réalité dans notre entreprise mais principalement sur des environnements non-critiques pour le moment. Il nous faut nous renforcer en la matière, expérimenter, apprendre. La nature de notre activité binationale rend complexe l’utilisation de solution « sur étagère ». La construction de solutions supportées par le Cloud fait naître de nouvelles problématiques, de nouveaux risques. Même si la gestion des risques - au rang desquels nous nous devons évidemment de mentionner le Brexit – est dans les gènes de l’entreprise, il faut reconnaître que gérer un système d’information en cloud n’est plus du tout le même métier pour une DSI que ce qu’elle faisait par le passé ; cette réalité n’est pas toujours perçue par une direction générale. »
Thierry Adenis, DSI de SIG plc France
« L’enjeu de la transformation digitale d’une entreprise – et notamment avec le cloud – est une question d’éveil du Comex aux problématiques numériques dans leur globalité, et leurs impacts et apports aux Business. Entre autres, la transformation cloud, ce n’est pas se contenter d’acheter des machines virtuelles chez AWS ou Azur : il s’agit plutôt de repenser complètement son système d’information et donc le fonctionnement de son entreprise. En y incluant notamment le fort impact sur l’organisation de la DSI, surtout sur le plan humain - accompagnement des collaborateurs vers de nouveaux métiers, recrutement de nouveaux savoir-faire, adaptation à de nouveaux process. Cette réinvention du fonctionnement vaut bien également pour mieux prévenir les risques et mieux réagir en situation de crise. Et dans ce dernier cas, la clé est de ne pas s’arrêter à la théorie. Il faut se confronter au réel, être entrainé, alors que le jour venu chaque minute comptera. Il est plus important d’avoir des personnes prêtes à agir, plutôt que de se rassurer en se disant que l’on a un bon PCI/PRI. »
Hervé Magnier, CTO d’ADP
« ADP est connu en tant qu’opérateur et constructeur de plateformes aéroportuaires, en France et à l'international, mais l’activité s'étend aux domaines immobiliers, à la gestion des parkings et au retail. Ces activités présentent donc des enjeux très variés et les crises potentielles, des natures très différentes, lorsqu'elles impactent les services aéroportuaires ou la gestion d’un commerce par exemple. En toute logique, de l’un à l’autre, les enjeux cloud sont donc eux-aussi très différents. La constante reste que la DSI doit être vue comme un acteur central de la transformation pour que celle-ci ait bien lieu. En effet, les systèmes sont devenus hybrides et les parties prenantes se sont multipliées : Le SI devient global et sa maîtrise passe par celle de tout un éco système : ses environnements internes, mais aussi des opérateurs de cloud et de réseau. Si le DSI ne se met pas au centre du jeu, il pourrait se retrouver devant le fait accompli en cas de dysfonctionnement d'une des briques. »
Chocri Redjeb, Direction Cyber Groupe EDF
« Il est évident qu’EDF accord une importance extrême aux enjeux de résilience, du fait de la nature de ses activités industrielles. Cela se retrouve autant dans son travail avec son écosystème de partenaires, qu’au niveau de la formation constante de ses collaborateurs. Le risque cyber vient également tout de suite à l’esprit, mais pour autant, quand on évoque la place du cloud dans les systèmes d’information, on est également contraint de sortir de la vision classique des crises informatiques. L’enjeu porte aussi bien sur celui de la protection du patrimoine informationnel face aux actions d’intelligence économique qu’aux problématiques de disponibilité au sens traditionnel : ces points sont primordiaux pour les différents métiers du groupe EDF. »
Hervé de Crevoisier, VP Information Systems France de Thales
« L’activité de Thales étant répartie entre des activités de Défense et des activités civiles, la stratégie Cloud de Thales doit particulièrement prendre en compte les aspects de sensibilité et de souveraineté des données. Le passage au cloud fait partie de la transformation digitale du groupe, et apporte de nombreuses capacités nouvelles : massive computing, amélioration de la collaboration entre pays en utilisant des standards communs fournis par le cloud, capacité de développer des services fondés sur des data partagées par des plateformes collaboratives, capacité d’innovation et d’agilité. Dans le domaine des activités civiles au sein de la DSI, la stratégie est désormais le « cloud first ». Dans le domaine de défense, la stratégie est plus nuancée et complexe.
Le passage au cloud change la donne en terme de rôle de la DSI : les métiers peuvent acheter directement des solutions en SaaS, et le rôle de la DSI devient un rôle de conseil et de prescripteur sur l’achat de services cloud, en prenant en compte la sécurité, les aspects financiers, l’intégration au reste du système d’information. Si la DSI ne se rapproche pas des métiers pour participer en amont aux décisions stratégiques de services digitaux, le déploiement du cloud se fera ailleurs dans l’organisation. Par ailleurs, le domaine du cloud et du digital nécessite une nouvelle culture dans nos équipes, proche de celle des nouvelles générations « Digital Natives ».
François Desrayaud, DSI de SMRC Automotive
« Nous sommes un équipementier automobile de rang 1, spécialiste des Systèmes Intérieurs (planches de bord, etc) : design, manufacturing et logistique. Nos clients sont les principaux constructeurs au niveau mondial, avec une forte présence chez PSA et Renault. Dans notre vision, le Cloud n’est pas un objectif, mais un simple moyen qui demande des points de vigilance particuliers. Une réalité de la transformation de la DSI est la présence de plus en plus importante dans l’équation des services achats et juridique. C’est un travail commun avec eux de tous les instants qui permet de construire les conditions de la performance et de la résilience dans nos nouveaux modes de fonctionnement. Cependant, il faut être réaliste : un manager sous pression de ses objectifs et de ses coûts ne sera jamais directement sensibles à une équation de risque théorique, qui multiplie une probabilité d’événement par sa sévérité potentielle… Aussi, lorsque malheureusement le risque se réalise, une fois la crise passée, nous profitons de la phase de "post mortem" pour faire avancer nos projets de résilience avec le management. »
Thierry Scanff, Directeur Data For Business de Veolia
« La transformation cloud de Veolia a été amorcée il y a 6 ans, avec pour principal objectif de s'affranchir des infrastructures pour rapprocher l’IT des métiers. Depuis, le mouvement s’est accéléré car nous avons vraiment positionné la DSI à tous les niveaux comme un business partner. Nos parti pris ont des conséquences assez visibles pour les utilisateurs : nous avons plus de projets digitaux et moins de crise sur les legacy depuis que nous sommes dans le cloud. Mais pour autant, il n'y a pas de recette miracle. Le changement réussi nécessite une savante alchimie entre le choix des technologies cloud elles-mêmes, le bon équilibre contractuel assorti d'engagements avec les partenaires et l’acquisition de compétences adaptées pour les équipes qui ont dû changer de métier et de façon de travailler, y compris côté métiers pour ne citer que l'agile. »
Alexandra Napoléoni, Channel Account Executive de Zerto
« Dans un monde où le numérique est omniprésent, il est facile de penser que les technologies, comme celles du cloud, permettent en elles-mêmes de prévenir des crises. La réalité est évidemment plus complexe. D’une part parce qu’on ne peut qu’admettre l’importance des femmes et des hommes et de leurs compétences dans la transformation des organisations, la prévention des risques et la réaction à des situations de crise. D’autre part parce que les écosystèmes de partenaires qui se constituent autour des entreprises en transformation sont eux-mêmes de plus en plus complexes. En la matière, la valeur d’un partenaire pourra être analysée à partir de sa capacité à se rapprocher des usages de résilience de l’organisation qu’il accompagne, que ce soit face à des catastrophes naturelles, des crises sociales ou encore des crises technologiques. »
Bernard Blimont, Directeur du Business Development Cloud, Digital & Data d’Orange Business Services
« La résilience et la gestion des crises sont des sujets d’actualité et font partie des sujets fondamentaux pour assurer la bonne marche d’une entreprise sur le long terme.Chez tous les acteurs, y compris les spécialistes du numérique comme nous, la dépendance au numérique est une réalité, et cette réalité ne cesse de s’accentuer.
Cela implique de développer une vision beaucoup plus holistique des risques et de la prévention des crises ; c’est-à-dire de penser « le voyage de la donnée » dans sa totalité, au-delà des segments auxquels nous étions tous habitués par le passé.Compte tenu de la complexité du sujet, cela implique aussi de la co-construction avec nos clients et nos partenaires, dans un écosystème de confiance, pour apporter des solutions originales et « durcies » quand cela est nécessaire.
Ce besoin de résilience milite aussi pour que les acteurs qui accompagnent les entreprises soient prêts à aller « au-delà » de leurs stricts engagements contractuels avec leur client en cas de crise. »
Un dîner organisé en partenariat avec Zerto et Orange Business Services
Zerto, leader de l’industrie de la résilience informatique selon Gartner, aide les clients à accélérer la transformation numérique en éliminant le risque et la complexité de la modernisation et de l'adoption du cloud. En remplaçant plusieurs solutions existantes par une seule et unique plateforme de résilience informatique, Zerto simplifie la gestion de la reprise après sinistre et les sauvegardes, la protection des données et la mobilité multi-cloud.
La plateforme logicielle, qui s'appuie sur le socle de la CDP, permet d’éviter des temps d’arrêt ou des pertes de données, de tirer profit de nouvelles technologies et d'avancer sereinement dans les projets de transformation digitale. Zerto bénéficie de la confiance de plus de 7 000 clients dans le monde avec plus de 1200 partenaires et propose des offres de résilience pour Microsoft Azure, IBM Cloud, AWS, Orange Business Services, Sungard et plus de 350 fournisseurs de service Cloud. En savoir plus : www.zerto.com
Orange est également l'un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services. Cette filiale, qui adresse les besoins des entreprises, place l'expérience de ses clients au coeur de sa stratégie, afin que ceux-ci puissent bénéficier pleinement du monde numérique et de la puissance de ses réseaux très haut débit.
Au sein d’Orange Business Services, l’activité cloud d’Orange Business Services est portée par 2200 experts en France et sur tous les continents. Elle a pour ambition de simplifier la démarche de migration vers le cloud, d’assurer la disponibilité des applications et la sécurité des données, d’accompagner les entreprises dans leurs projets d’innovation (Big Data, IoT, etc.) et dans leur déploiement à l’international. Ses services d’accompagnement dans le cloud s’appuient aussi bien sur ses propres infrastructures cloud, qui apportent des garanties fortes en termes de protection des données personnelles, que sur celles de nos partenaires tels qu’AWS ou Microsoft Azure. PAC, Markess, Gartner reconnaissent Orange Business Services parmi les leaders internationaux en qualité de « service cloud provider ». Pour en savoir plus : https://www.orange-business.com/fr - https://cloud.orange-business.com/
Nous remercions nos invités pour leur présence à ce dîner-débat et pour s’être prêtés au jeu des échanges et du partage, ainsi que nos partenaires, qui ont permis l’organisation de ce diner. En écho à son crédo « travailler ensemble pour innover plus vite », la rédaction d'Alliancy a créé les diners de la rédaction. Ce sont des soirées d’échanges, de débats et de prospectives qui réunissent 10 à 15 invités, les dirigeants qui construisent, jour après jour, la révolution numérique de leur entreprise. L’objectif : se rencontrer, partager ses problématiques, s’inspirer et réfléchir ensemble aux grands défis auxquels ils font face.
Retour sur le dîner de la rédaction du 30/09 :« Quelles crises potentielles à l’ère du cloud et comment s’y adapter ? »
Un dîner organisé en partenariat avec Zerto et Orange Business Services
Zerto, leader de l’industrie de la résilience informatique selon Gartner, aide les clients à accélérer la transformation numérique en éliminant le risque et la complexité de la modernisation et de l’adoption du cloud. En remplaçant plusieurs solutions existantes par une seule et unique plateforme de résilience informatique, Zerto simplifie la gestion de la reprise après sinistre et les sauvegardes, la protection des données et la mobilité multi-cloud.
La plateforme logicielle, qui s’appuie sur le socle de la CDP, permet d’éviter des temps d’arrêt ou des pertes de données, de tirer profit de nouvelles technologies et d’avancer sereinement dans les projets de transformation digitale. Zerto bénéficie de la confiance de plus de 7 000 clients dans le monde avec plus de 1200 partenaires et propose des offres de résilience pour Microsoft Azure, IBM Cloud, AWS, Orange Business Services, Sungard et plus de 350 fournisseurs de service Cloud. En savoir plus : www.zerto.com
Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services. Cette filiale, qui adresse les besoins des entreprises, place l’expérience de ses clients au coeur de sa stratégie, afin que ceux-ci puissent bénéficier pleinement du monde numérique et de la puissance de ses réseaux très haut débit.
Au sein d’Orange Business Services, l’activité cloud d’Orange Business Services est portée par 2200 experts en France et sur tous les continents. Elle a pour ambition de simplifier la démarche de migration vers le cloud, d’assurer la disponibilité des applications et la sécurité des données, d’accompagner les entreprises dans leurs projets d’innovation (Big Data, IoT, etc.) et dans leur déploiement à l’international.
Ses services d’accompagnement dans le cloud s’appuient aussi bien sur ses propres infrastructures cloud, qui apportent des garanties fortes en termes de protection des données personnelles, que sur celles de nos partenaires tels qu’AWS ou Microsoft Azure. PAC, Markess, Gartner reconnaissent Orange Business Services parmi les leaders internationaux en qualité de « service cloud provider ».
Pour en savoir plus : https://www.orange-business.com/fr – https://cloud.orange-business.com/