1er anniversaire du programme « 1000 femmes dans la Tech »

Depuis son lancement en juin 2022, le programme « 1000 Femmes dans la Tech », lancé par Salesforce France, a permis de former et d’accompagner plus de 650 femmes vers un emploi dans le numérique. A ce jour, plus de 70 partenaires ont déjà rejoint le dispositif.

L’égalité fait partie des cinq valeurs de Salesforce, avec la confiance, le succès client, l’innovation et le développement durable qui cimentent son écosystème. C’est pourquoi, en ce sens, Salesforce et ses partenaires créaient en juin 2022 la Talent Factory avec l’objectif de pallier la pénurie de talents pour répondre concrètement aux tensions sur le marché du recrutement.

Leur ambition : former le plus grand nombre aux compétences numériques requises pour occuper l’un des 211 000 emplois qui devraient être créés au sein de la Salesforce Economy en France d’ici 2026 (source : étude IDC). Une démarche qui passe notamment par le lancement – voici plus d’un an – de l’initiative 1000 femmes dans la Tech et a depuis permis à plus de 650 femmes de trouver un emploi dans le secteur !

Pour agir concrètement sur le terrain, Salesforce France s’est alliée à plus de 70 associations et organismes de formation (Ecole 42, EI-Institut, ISDI, LePont, Social Builder, The University by Reej), partenaires nationaux et régionaux, ainsi que des clients. Ils acceptent notamment de proposer automatiquement des entretiens aux femmes formées dans le cadre de ce dispositif. Les modalités de cet engagement ont d’ailleurs été fixées par une charte ratifiée par l’ensemble des parties prenantes, en présence de Pôle Emploi, partenaire non-signataire qui accompagne Salesforce sur l’identification des talents.

A lire aussi : Les femmes en reconversion, un vivier de talents cachés pour la filière du numérique

Lors d’une soirée chez Salesforce, ce fut l’occasion d’écouter les retours d’expériences des représentantes de VO2 Group (conseil en transformation numérique), 50inTech et de CapGemini, en présence de Émilie Sidiqian, directrice générale de Salesforce France, qui se félicitait de l’engouement autour de cette initiative, déclinée depuis par le gouvernement à une plus grande échelle avec le tout-nouveau programme « Tech pour Toutes » (piloté par Nelly Haudegand de la Fondation Inria).

Mathilde Hergott, joueuse de basketball professionnelle, était également présente en tant que bénéficiaire du programme « Athletes in Tech » (Salesforce est partenaire des JOParis2024 et des JOLosAngeles2028), une déclinaison de l’initiative vers les sportifs de haut niveau. Il en sera bientôt de même envers les réfugié.e.s ou encore les personnes porteuses d’un handicap.

C’est d’ailleurs là toute l’ambition de ces programmes : réduire les préjugés si vous embauchez différemment, rappelaient-elles toutes de concert. « Formées, ces profils sont plus fidèles et plus engagés et deviennent de vrais ambassadeurs de l’entreprise : il faut se lancer ! », incitait ainsi Luna Ribeiro, directrice du recrutement chez 2Paces, un cabinet de conseil français en matière de performance commerciale en pleine croissance (60 collaborateurs en France, x 2 en 2024).

[bctt tweet= »Salesforce France a été distinguée parmi les meilleurs employeurs pour les femmes en 2023 (“Best workplace for Women”), et ce dans un secteur qui souffre d’une pénurie de main-d’œuvre féminine. » username= »Alliancy_lemag »]

L’une des recrues de 2Pace, Delphine Gautier, 4 enfants, revenait sur tout son parcours dans la finance et se félicitait de sa reconversion avec Reej en tant que consultante désormais : « Je remercie 1 000 femmes de la Tech de mettre de la visibilité au service des défis des carrières des femmes. J’ai intégré à 59 ans l’équipe Revenue Cloud de 2Pace dans laquelle j’apporte mon expérience métier. J’apprends tous les jours, entourée d’une équipe qui porte les valeurs de Salesforce avec force et pragmatisme. »

L’écosystème permet notamment à toutes ces femmes d’obtenir des RDV et de passer le cap des seniors, des clients… Toutes relèvent aussi l’intérêt de créer un réseau de femmes qui se soutiennent, capables de promouvoir une carrière de femmes positive ! « Ce sont des compétences nécessaires pour bien comprendre la transformation numérique », rappelle Émilie Sidiqian qui confirme que PME et ETI ont également commencé à lancer de vrais projets autour de la relation client.

Reste maintenant à unir toutes les initiatives qui vont dans ce sens de l’insertion des femmes dans le secteur de la Tech, que ce soit chez Numeum ou encore au sein du collectif Femmes@Numérique.