La Conférence Collaboration Universelle en Entreprise aura lieu les 25 et 26 novembre prochains au Palais des Congrès d’Issy-les-Moulineaux. Dédié à la transformation des modes de travail et des organisations par les technologies sociales et collaboratives de Microsoft, cet évènement est co-organisé par AvePoint, une société qui propose des solutions de gestion d’infrastructure et de gouvernance SharePoint. Son General Manager EMEA, Antoine Driard, nous en dit plus.
Comment est venue l’idée de cette conférence ?
Antoine Driard : Elle prend la suite de trois conférences précédentes : la Conf’SharePoint 2013, la Lync Conférence et le Social Tour. La conférence SharePoint, organisée par vNext l’an dernier, avait bien fonctionné mais n’était centrée que sur cet outil Microsoft. Nous avons donc eu l’idée d’étendre le sujet à d’autres technologies de l’éditeur. De plus, il n’y a pas beaucoup de conférence sur ce sujet en France. Dans les évènements internationaux relatifs aux outils collaboratifs de Microsoft, les Français sont peu représentés. C’est pour cela que nous avons voulu organiser cet évènement totalement en français pour permettre à tous les professionnels de venir. Tout le monde ne parle pas anglais dans les entreprises !
Cette conférence a-t-elle d’autres particularités ?
A.D : Le contenu. Nous n’avons pas voulu faire une conférence centrée sur AvePoint pour échanger uniquement sur nos produits. Ce n’est pas très intéressant pour les visiteurs. C’est pourquoi nous avons mis en place un comité éditorial, dont je fais partie, pour définir les axes majeurs de la conférence et les intervenants. L’axe principal tourne autour des retours d’expérience. C’est avant tout ce qui retient l’attention des entreprises utilisatrices des produits Microsoft. Entendre les fournisseurs parler de leurs propres solutions, ça a ses limites…ce sont les utilisateurs qui en parlent le mieux ! L’intérêt est donc de créer une forme d’émulation et de montrer ce qui se passe dans d’autres entreprises. L’autre particularité de la conférence c’est qu’elle ne s’adresse pas qu’aux DSI. L’idée de ces deux journées est d’essayer de répondre aux problématiques d’interaction entre DSI et directions métiers. Nous attendons donc des directeurs de communication, des directeurs commerciaux, des directeurs marketing pour que tout le monde puisse échanger ensemble !
Animerez-vous une session ?
A.D : Oui, elle s’intitule « Gestion de la relation citoyen ». Je vais mettre en avant l’accompagnement des administrations dans la modernisation des interactions avec les citoyens. Aujourd’hui, les échanges avec les administrations sont désuets. Il faut rattraper le retard par rapport au secteur privé. Par exemple, la façon dont les réunions publiques sont tenues ou la façon dont on communique au sein des administrations. Il est nécessaire de procéder à une numérisation de ces organisations comme la mise en place de réunions en ligne et l’instauration d’un agenda plus collaboratif. Le but est de rendre le service public meilleur. Les solutions abordées pendant la conférence peuvent évidemment être transposées au secteur public. Avec un objectif de 200 à 300 personnes attendues, nous espérons que les administrations publiques seront bien représentées !